Alors, Le enfila un chaud et grand manteau rouge que sa femme lui avait confectionner et n'oublia pas de se couvrir la tête de son joli bonnet.
il décida de le chercher seul sans l'étoile pour le guider...
Mais il réalisa que c'était trop dur,
il y avait beaucoup trop de bébés
qui étaient nés ce soir-là.
Il rentra donc chez lui , mais sa femme et tous leurs enfants, en le voyant si triste, voulurent l'aider et trouvèrent une solution...
"Et si tu offrais à tous les enfants du monde un jouet ?"
Le roi trouva cette idée merveilleuse!
Tous se mirent au travail et fabriquèrent des milliers de jouets pour tous les du monde.
Et depuis plus de 2000 ans, ce roi, que l'on appelle le Pére Noël , travaille avec sa femme, la Mère Noël et tous leurs enfants, les Lutins à faire des jouets pour tous les enfants sages du monde.
Pour fêter Noël , il faut aller coupé un beau sapin
La tradition du sapin de noël est trés lointaine,
Les romains décoraient les sapins en l'honneur de saturne,
les druides décoraient les branches de chênes.
c'est seulement au XVIe siécle, que les 1er sapins de Noël firent leur entré dans nos maisons.
Les cheminées sont décorées,
Le feu est allumé,
Le sapin décoré
Les chants de Noël raisonnent dans toutes les maisons
Mon beau sapin roi des forêts
Que j'aime ta verdure
Quand en hivers bois et guerets
Sont dépouillés de leurs attraits
Mon beau sapin roi des forêts
que j'aime ta parure
Toi que Noël planta chez nous
Au saint anniversaire,
Mon beau sapin, comme il est doux
De te voir briller par nous,
{variante:
Mon beau sapin, comme ils sont doux
et tes bonbons et tes joujoux}
Toi que Noël planta chez nous
Scintillant de lumière.
Mon beau sapin tes verts sommets
Et leur fidèle ombrage
De la foi qui ne ment jamais
De la constance et de la paix.
Mon beau sapin tes verts sommets
M'offrent la douce image.
C'était la nuit de Noël, un peu avant minuit,
A l'heure où tout est calme, même les souris.
On avait pendu nos bas devant la cheminée,
Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée.
Blottis bien au chaud dans leurs petits lits,
Les enfants sages s'étaient déjà endormis.
Maman et moi, dans nos chemises de nuit, Venions à peine de souffler la bougie,
Quand au dehors, un bruit de clochettes,
Me fit sortir d'un coup de sous ma couette.
Filant comme une flèche vers la fenêtre, Je scrutais
tout là haut le ciel étoilé.
Au dessus de la neige,la lune étincelante,Illuminait la nuit comme si c'était le jour.
Je n'en crus pas mes yeux quand apparut au loin,Un traîneauet huit rennes pas plus gros que le poing,
Dirigés par un petit personnage enjoué :
C'était le Père Noël je le savais.
Ses coursiers volaient comme s'ils avaient des ailes.
Et lui chantait, afin de les encourager :
" Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez , Furie et Fringuant !
En avant Comète et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre !
Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur !
Au galop au galop mes amis ! au triple galop ! "
Pareils aux feuilles mortes, emportées par le vent, Qui montent vers le ciel pour franchir les
obstacles ,
Les coursiers s'envolèrent, jusqu'au dessus de ma tête, Avec le traîneau, les jouets et même le Père Noël.
Peu après j'entendis résonner sur le toit
Le piétinement fougueux de leurs petits sabots.
Une fois la fenêtre refermée, je me retournais,
Juste quand le Père Noël sortait de la cheminée.
Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet,
Etaient un peu salis par la cendre et la suie.
Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets,
Lui donnait l'air d'un bien curieux marchand.
Il avait des joues roses, des fossettes charmantes,
Un nez comme une cerise et des yeux pétillants,
Une petite bouche qui souriait tout le temps,
Et une très grande barbe d'un blanc vraiment immaculé.
De sa pipe allumée coincée entre ses dents,
Montaient en tourbillons des volutes de fumée.
Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond
Sautait quand il riait, comme un petit ballon.
Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin,
Que je me mis malgré moi à rire derrière ma main.
Mais d'un clin d'oeil et d'un signe de la tête,
Il me fit comprendre que je ne risquais rien.
Puis sans dire un mot, car il était pressé,
Se hâta de remplir les bas, jusqu'au dernier,
Et me salua d'un doigt posé sur l'aile du nez,
Avant de disparaître dans la cheminée.
Je l'entendis ensuite siffler son bel équipage.Ensemble ils s'envolèrent comme une plume au vent.
Avant de disparaître le Père Noël cria :
" Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit